Viltaïs

La seconde séance qualificative au Bol d’Or 2023 a vu l’équipe Honda Viltaïs Racing réaliser une progression significative.

Très concentrée sur la course, elle s’élancera de la 8e position sur la grille de départ.

Après avoir signé hier le 9e meilleur temps de la première séance d’essais qualificatifs, la Honda #333 a pris part aujourd’hui, de 9h00 à 10h50 (heure locale), à l’ultime confrontation chronométrée avant le départ de la course. Le très expérimenté Florian Alt a ouvert le bal en début de matinée mais il n’a pas réussi à améliorer son excellent chrono établi la veille, en 1.53.501. Le jeune Allemand réalise aujourd’hui le 10e temps de sa séance, avec un meilleur tour en 1.54.369 qui ne reflète pas son potentiel.

Cette dernière séance de qualification s’est révélée en revanche positive pour le Sud- Africain Steven Odendaal qui améliore sa performance de plus d’une demi-seconde, en bouclant un tour rapide en 1.54.024.

Mais l’exploit de la journée est à mettre au crédit de Leandro Mercado. L’Argentin va en effet réussir à gagner 1,33 seconde sur son meilleur chrono et signer ainsi le temps de référence de l’équipe Honda Viltaïs Racing, en 1.53.439, ce qui lui offre la 4e place de sa
session.

La compétitivité de la Honda #333 sera validée lors de la séance dédiée aux pilotes de réserve où James Westmoreland améliore lui
aussi ses performances et se place 4e, en 1.55.889.

Ces résultats, alliés à l’efficacité de tout le staff technique, permettent à l’équipe Honda Viltaïs Racing de se hisser à la 8e position sur la
grille de départ, en étant créditée d’un chrono en 1.53.470 à la moyenne de ses deux meilleurs temps. Cette 86e édition du Bol d’Or, dont le départ sera donné samedi 16 septembre à 15h (heure locale), sera diffusée en direct sur les 5 continents et en intégralité sur Eurosport Player. Les moments forts seront visibles en direct sur Eurosport et La chaîne L’Équipe pour la France.

Je suis satisfait de nos qualifications mais je sais que Florian n’était pas à son meilleur niveau aujourd’hui. Même si je ne la ressens pas, il y avait peut-être un peu de pression sur lui. Nous avions les moyens de gagner quelques places sur la grille et il y a un peu de frustration de ne pas exploiter tout le potentiel de notre moto. Ceci dit, nous n’avons pas utilisé le moteur de qualification et sur un circuit disposant d’une ligne droite de presque 2 kilomètres, cela fait vite une grosse différence avec les équipes de tête. Mais une course se gagne sur la piste et dans les stands. A nous de faire ce que l’on sait faire demain… et après-demain. Il ne s’est encore rien passé, tout reste à faire ! » Yannick Lucot, Team Manager